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23 | le mardi 1 mars 2022 | Catégorie : Politique | Type : Musique |
La Libre, rue des Francs 79, 1040 Bruxelles Le chef d'orchestre pro-Poutine Valery Gergiev mis au ban de la scène culturelle. par David Courbet
Сайт/Site : https://www.lalibre.be/dernieres-depeches/afp/2022/03/01/le-chef-dorchestre-pro-poutine-valery-gergiev-mis-au-ban-de-la-scene-culturelle-KLXDCN63AZH7LNY4UTYDWSBPJI/Déprogrammé, lâché par son agent et finalement limogé : le chef d'orchestre russe Valery Gergiev s'est retrouvé en quelques jours mis au ban de la scène culturelle, payant le prix d'années de soutien affiché à Vladimir Poutine. • • • • • - Rencontres régulières avec Poutine - Outre ses fonctions à la tête de la philharmonie munichoise, depuis 2015, ce maestro hyperactif et controversé est également directeur du prestigieux théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, ville natale du président russe. • • • • • - Annulations en série - La Philharmonie de Paris, le festival suisse de Lucerne ou encore la salle new-yorkaise Carnegie Hall ont annulé plusieurs dates de ses concerts en signe de « solidarité » avec « le peuple ukrainien ». • • • • • Oui Sacha, les exclusions, mises au ban, condamnations, excommunions, appels au chatiment, ce sera tous les jours. Oui je pense que Poutine frustré a pété les plombs et je m'en dissocie. Mais Zelensky ne vaut pas mieux, car les morts étaient entre les lignes de ses appels au combat. Les premiers responsables sont ceux qui ont toujours refusé de tendre la main à la Russie, dont Zelensky. S'ils l'avaient fait ça aurait changé beaucoup de choses. Le but de ma visite était justement de te parler de « Main tendue à la Russie », avec quelques élus français et quelques artistes. Il y aura un après Poutine. André Bolle |
24 | le vendredi 7 janvier 2022 | Catégorie : Poésie | Type : Littérature |
Karoo c/o Indications asbl, rue du Marteau 19, 1000 Bruxelles Cavale russe de Célestin de Meeûs. Poème à perdre haleine.
par Lisa Kruise
Karoo, Critique & création culturelleCavale russe est le dernier poème-fleuve du poète belge Célestin de Meeûs. Il retrace la fuite du poète à travers les villes, villages et paysages de la Russie ; une course qui nous laisse le souffle coupé. Cavale russe est le cinquième recueil de Célestin de Meeus, édité dans l’élégante collection grise des éditions Cheyne. Le poème est en vers libres, sur une soixantaine de pages. Comme l’annonce le titre, c’est la fuite du poète qui est ici contée, vers « le fuseau continental le plus à l’est ». La première escale est Vladivostok, mais le poète pousse le périple plus encore à l’est, avant de finalement retraverser la Russie vers l’ouest. Tout commence par un sentiment d’étroitesse : C’est un vieux vendredi d’avril c’est le vingt-quatre ‒ j’avais trois cartes depuis des mois épinglées sur le mur . . . [– – – – – – – – – – – – – ] En lisant Cavale russe, on ne peut s’empêcher de penser à la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France (1913) de Blaise Cendrars, long poème contant le périple du poète en Russie à bord du mythique Transsibérien. Cendrars était Suisse, il était donc originaire d’un petit pays, comme de Meeûs, et il avait soif de voyages ; les plus marquants sont ceux en Russie, mais aussi au Brésil. Les deux poètes décrivent les villes et villages par lesquels ils passent, mais plus d’un siècle séparent ces deux œuvres et des réalités différentes se dessinent : Cendrars évoque la révolution russe, tandis que de Meeûs parle par exemple des conséquences du changement climatique sur la Sibérie. Cavale russe est aussi plus un retour qu’un départ : le poète fuit son pays natal mais ne cesse de repenser au temps qu’il a passé avec un autre à la plage d’Ostende (une photo-souvenir de ce moment ne cesse de s’abîmer tout au long du périple) ; le périple commence immédiatement le plus à l’est, et le poète ne peut que revenir vers son point de départ. Cependant, on peut noter qu’un certain sentiment de nostalgie émerge de la lecture de ces deux œuvres. Rares sont les signes de ponctuation dans ce poème, ce qui renforce l’impression de course, de cavale. Le texte, plein d’observations et d’images, est dense, et on arrive à bout de souffle à la fin de Cavale russe, mais on est reconnaissant d’avoir la tête remplie par la poésie de Célestin de Meeûs. le plus étroit de mon appartement. Tél.: 02 218 58 02 ou le 0476 85 55 59 / courriel : redaction at karoo.me ISBN 978-2-84116-309-0 / Cheyne éditeur/ 80 pages / 22 x 14,4 x 0,9 cm/ 185 g Сайт/Site : https://karoo.me/livres/cavale-russe-de-celestin-de-meeus-poeme-a-perdre-haleine |
25 | le mercredi 5 janvier 2022 | Catégorie : Histoire de la musique | Type : Enseignement |
MUSIQ3 RTBF, boulevard Auguste Reyers 52, 1044 Bruxelles (Schaerbeek ) L'âme de la musique russe. Le groupe des cinq.
Écrit par Clément Holvoet
Temps de lecture : 19 minTelle est la question! A l’instar du groupe des six en France, le groupe des cinq en Russie rassemble cinq compositeurs russes, romantiques et post-romantiques, actifs dans la seconde moitié du XIXe siècle. L’objectif de ces compositeurs était de créer une musique russe, une musique nationale. Clément Holvoet nous propose une plongée dans l’univers de ce groupe des cinq et nous présente chacun de ses membres. Puissant petit groupe Le groupe des cinq rassemble cinq compositeurs russes, romantiques et post-romantiques, qui ont été actifs dans la seconde moitié du XIXe siècle, dont l’objectif était de créer une musique russe, nationale, loin des Conservatoires de musique et de leur académisme, et dans l’idée de se démarquer de la musique occidentale. Dans ce groupe des cinq, nous retrouvons - Alexandre Borodine, César Cui, Mili Balakirev, Modeste Moussorgski et Nikolaï Rimski-Korsakov. Ce nom de Groupe des 5 n’est en fait qu’une traduction francophone, le groupe s’appelait, en russe, "Puissant petit groupe". Un nom que l’on doit au critique d’art et journaliste russe Vladimir Stassov, fervent soutien du groupe. Ces cinq compositeurs étaient tous autodidactes. Ils se réclamaient de M. Glinka, considéré comme le fondateur de la musique russe. Il faut savoir qu’à cette époque, la Russie était encore très francophile et Glinka écrivait ses opéras en langue russe et ses mélodies s’inspiraient de la musique populaire de son pays. Vidéos des chroniques : tél.: 02/737 21 11 Сайт/Site : https://www.rtbf.be/musiq3/emissions/detail_telle-est-la-question/accueil/article_le-groupe-des-cinq-l-ame-de-la-musique-russe?id=10909247&programId=19747 |
26 | le mercredi 3 novembre 2021 | Catégorie : Musique | Type : Actualités |
La Libre, rue des Francs 79, 1040 Bruxelles Les nez qui montrent la Russie d’aujourd’hui. par Nicolas Blanmont, envoyé spécial à Munich
https://www.lalibre.be/culture/musique/2021/11/03/les-nez-qui-montrent-la-russie-daujourdhui-AWEASQ5CUVDONJWU6S6BLUGRSE/Gogol, Chostakovitch, Jurowski et Serebrennikov : ouverture en mode russe pour Serge Dorny au Staatsoper Ceux qui connaissent l'amour que Serge Dorny porte à la musique russe ne s'étonneront pas que, pour ouvrir son mandat à Munich, il ait jeté son dévolu sur Le Nez , fable sarcastique où un personnage perd son nez et tente de le récupérer à travers Saint-Pétersbourg. Mais il était quand même audacieux de programmer cet opéra de Chostakovitch d'après Gogol dans un théâtre de ... https://www.diapasonmag.fr/a-la-une/a-munich-le-nez-pour-changer-dere-1805.html#item=1 https://www.nytimes.com/2021/10/28/arts/music/dorny-jurowski-bavarian-state-opera-munich.html https://www.forumopera.com/le-nez-munich-munich-en-etat-de-sideration |
27 | le mardi 5 octobre 2021 | Catégorie : Actualités | Type : Gotha |
L'Eventail, Berpress, chaussée de Waterloo 1393, 1180 Bruxelles Mariage de George Romanov à Saint-Pétersbourg. Rédigé par Christophe Vachaudez
Сайт/Site : https://www.eventail.be/gotha/6342-mariage-de-george-romanov-a-saint-petersbourg#Saint-Pétersbourg n'avait plus connu de mariage d'un membre de la famille Romanov depuis 114 ans. L'événement fut donc de taille et trouva un cadre à sa mesure puisque la cathédrale Saint-Issac de Saint-Pétersbourg, construite entre 1818 et 1858, s'imposant comme la troisième plus grande d'Europe, avait été choisie. C'est sous ses voûtes dorées que le grand-duc Georges de Russie a pris pour épouse mademoiselle Rebecca Bettarini, de nationalité italienne. |
28 | le mardi 14 septembre 2021 | Catégorie : Musique russe | Type : Interview |
Haynd Festival, cours Pasteur 6, F-86270 La Roche-Posay La Roche-Posay : Jérôme Pernoo veut « faire découvrir la musique de chambre russe ». par Anthony Floc'h
Réservation : haydnfestival at gmail.com / Tél.: 09 70 95 80 56Festival international de musique de chambre « Les Vacances de Monsieur Haydn ». Directeur artistique des Vacances de Monsieur Haydn à La Roche-Posay, Jérôme Pernoo évoque la 17e édition du festival, du 16 au 19 septembre. Vous avez choisi le thème de la Russie. Pourquoi ? Jérôme Pernoo : « La musique de chambre russe est un répertoire très peu joué, y compris par les chambristes les plus aguerris. C'est intéressant de faire un programme avec un tas de découvertes. Il y a bien sûr les « big one » – Tchaïkovski, Glinka, Prokofiev, Chostakovitch, Rachamninov… – mais aussi de nombreux autres qu'on ne connaît pas et qui sont très beaux, très intéressants – Arensky, Miaskovski… J'adore la Russie, j'adore la langue russe. L'âme slave est par définition romantique, c'est très prenant. » Vous avez joué plusieurs fois en Russie. Quel rapport ce pays entretient-il avec la musique classique ? « Un rapport très fort. Quand je joue là-bas, je ressens chez le public un besoin de musique, toutes classes sociales confondues, ce qui est remarquable. Il y a beaucoup d'enthousiasme et de ferveur. Lucas Debargue y est une vraie star depuis qu'il a gagné un prix au concours Tchaïkovski (en 2015). C'est un concours que les Russes suivent comme la Coupe du monde de foot. Moi-même, j'en ai été lauréat en 1994. Quand, en 1998, je suis revenu jouer en Biélorussie, non seulement les gens me connaissaient mais ils se souvenaient de ce que j'avais joué en demi-finale, en finale… » ucas Debargue vient pour la 3e année consécutive comme compositeur en résidence. Pourquoi ? « Cela permet aux spectateurs de voir la progression des oeuvres d'une année sur l'autre. Il s'agit de créer une relation entre le public et le compositeur. Lucas est un artiste extraordinaire, qui fait une carrière magnifique, qui joue partout dans le monde… Mais ce qu'il aime, c'est venir une fois par an à La Roche-Posay. Parce qu'il y fait des choses qu'il ne peut pas forcément partager ailleurs, avec un public qui le suit sur son expression profonde. » Quelle est la plus-value d'un quatuor à cordes tel que le quatuor Arod ? « Déjà, ils sont incroyables, ils ont une personnalité très marquée. Ils travaillent ensemble toute l'année, se connaissent parfaitement. Leur jeu fait l'effet d'un seul instrument, chose qu'on ne peut pas obtenir avec des individus qui se rencontrent juste pour le temps d'un festival. Et puis, cela donne l'occasion de jouer les quatuors russes de Haydn. » Si vous deviez inviter le grand public à assister à un moment en particulier, ce serait lequel ? « Le concert de clôture avec l'octuor de Glière, un chef-d'oeuvre absolu que personne ne connaît. Ce dernier concert est toujours un moment très festif, où tout le monde se lâche. Parmi les particularités, il y a aussi le show off, en ouverture jeudi soir. Un super-moment, gratuit, sur la place, pour découvrir tous les musiciens du off. » Le festival, comme bien d'autres, connaît des difficultés budgétaires. Comment gérez-vous cela ? « On a des rêves et après, il y a la malheureuse réalité. En ce moment, c'est très difficile pour tout le monde. Pour cette édition et les suivantes, on va avoir des difficultés. Parce que nos financeurs ne vont pas se refaire d'un coup. On est obligés de faire des arbitrages. Et en même temps, si on est encore là, c'est parce qu'on a eu des aides très importantes du Département, de la Drac, de la Ville… » Le concert d'ouverture a lieu dans la nouvelle salle Acropolya. Qu'en attendez-vous ? « Je l'ai testée seul avec mon violoncelle, il y a des aménagements à faire pour qu'elle soit parfaite pour la musique classique. Ça va être un grand moment. J'ai une pensée émue pour René Barré (ancien maire de La Roche-Posay) qui, au démarrage du festival il y a 17 ans, était très investi à nos côtés et avait dit très vite : « Il faut qu'on arrive à construire un auditorium ». On y est ! » Anthony Floc'h https://www.lesvacancesdemonsieurhaydn.com/programmationin https://www.centre-presse.fr/article-810126-faire-decouvrir-le-repertoire-russe-de-musique-de-chambre.html |
29 | le vendredi 3 septembre 2021 | Catégorie : Denrées alimentaires | Type : Commerce |
La Meuse Sud Mere, le supermarché russe s’installe à 20 km de Bruxelles : les travaux ont débuté. par Muriel Sparmont
https://www.sudinfo.be/id414538/article/2021-09-03/mere-le-hard-discounter-russe-sinstalle-20-km-de-bruxelles-les-travaux-ontOn parle d’une ouverture en septembre, la chaîne mise sur 10 magasins chez nous. Avec des prix défiants toute concurrence. Mere, c’est un hard-discounter venu tout droit de Russie mais qui a décidé de s’établir en Europe. Nous l’avions ainsi récemment visité à Homburg, en Allemagne, à l’est de Metz. Une découverte surprenante, un magasin très froid avec des articles certes en promotion mais pas en nombre. On avait à l’époque cherché des produits de base (jus d’orange, confiture, lait…) mais en vain. En outre, on se trouvait devant des produits indescriptibles, aux étiquettes russes. On a cru acheter du vol-au-vent… mais on n’a pas vraiment compris si c’était ça le contenu. Dans les promotions ? Des lessives à des prix imbattables mais non connues, par exemple. Côté ambiance, n’en parlons pas, une seule caissière, des produits installés sur des palettes… on n’est pas dans le chaleureux. Mais le concept sera peut-être différent dans les mois à venir. Voir aussi : - Mere, « l’Aldi russe », débarque en Belgique. - Les emplacements des premiers magasins mere, «Le nouveau Lidl russe», sont connus: il y en a en Wallonie! |
30 | le dimanche 11 juillet 2021 | Catégorie : Voyages | Type : Tourisme |
Suisse Visions de St-Pétersbourg. Antipresse № 293
Сайт/Site : https://antipresse.net/aparchive/293109/Antipresse-293.pdfObserve • Analyse • Intervient Extraits de contenu : LE BRUIT DU TEMPS par Slobodan Despot Nuits blanches (visions de Saint-Pétersbourg) Depuis vingt-et-un ans que je retourne en Russie, je n’avais jamais visité Saint-Pétersbourg. L’occasion ne s’était pas présentée et j’avais cru pouvoir la compenser par quelques lectures. Mais je suis comme Simenon et son compère Maigret: je ne peux pas comprendre un lieu ou une situation sans l’avoir touché de mes doigts, humé, parcouru. De préférence, en y flânant sans but plutôt qu’en trottant derrière des guides. Musée d’Europe - un alphabet oublié - la ville aux trois noms - le laboratoire de la régression totalitaire - le message de Peterhof - le monde selon Khorochilov - notes ENFUMAGES par Eric Werner Sans moi, ou la lecture comme contrecourant Face au raz-de-marée du «mainstream», à la déferlante des «Me Too» et la terreur de l’unanimité, un petit nombre de rescapés reste toujours debout et refuse d’entrer dans la danse. Pourquoi? Qu’est-ce qui les motive à résister? Qu’est-ce qui les caractérise? Voilà l’un des mystère des «lois générales du comportement humain». Les «moi aussi» contre les «rescapés» - Contrecourants - La continuité de l’êtreLectures suggérées LA POIRE D’ANGOISSE par Slobodan Despot La guerre du vaccin secoue la société russe. Alors que le président Poutine fait le minimum nécessaire et se désintéresse fondamentalement de la question, certaines villes et régions de Russie plongent tête baissée dans la frénésie vaccinale. L’on y voit même des religieux inventer le péché épidémiologiquee… Tandis que le bon peuple préfère encore se faire licencier que de se faire piquer. |
31 | le mercredi 7 juillet 2021 | Catégorie : Pouchkine | Type : Interview |
Bruxelles Единственный прямой потомок Пушкина : « Дантесов не могу простить до сих пор ». Елена Еловик
Комментарии 70 / 11/07/2021Газета 7дней (Беларусь) - 1087 subscribers Интервью Александра Александровича Пушкина, потомка великого поэта - словно подарок ко Дню любви, семьи и верности. Наши современники и соотечественники Мария Александровна и Александр Александрович Пушкины всю жизнь - воплощение этих ценностей. Interview d'Alexandre Alexandrovich Pushkin, le descendant du grand poète - en cadeau pour la Journée de l'amour, de la famille et de la loyauté. Nos contemporains et compatriotes Maria Alexandrovna et Alexandre Alexandrovich Pouchkin toute leur vie - l'incarnation de ces valeurs Сайт/Site : https://zen.yandex.ru/media/sem_dney_belarus/edinstvennyi-priamoi-potomok-pushkina-dantesov-ne-mogu-prostit-do-sih-por-60d43b0afbe88a40d22b672b |
32 | le mardi 15 juin 2021 | Catégorie : Pianiste | Type : Interview |
OPRL - Orchestre Philharmonique de Liège, 4000 Liège Classic Academy 2021 : L’interview de Fidosi Kerchev. Propos recueillis par Éric Mairlot
Сайт/Site : https://www.oprl.be/fr/actualit%C3%A9s/classic-academy-2021-linterview-de-fidosi-kerchevDécouvrez le pianiste Fidosi Kerchev (23 ans, Conservatoire Royal de Bruxelles) qui interprétera Tchaïkovski, le 20 juin prochain. Né en 1998, à Razgrad (Bulgarie), Fidosi Kerchev est diplômé de l’École nationale de musique « Lyubomir Pipkov » de Sofia et de la Schola Cantorum de Paris (Diplôme de concert, 2017). Il étudie actuellement le piano au Conservatoire Royal de Bruxelles, dans la classe de Johan Schmidt. Lauréat des Concours « Albert Roussel » de Sofia (1er Prix, 2012), « J.-S. Bach » au Japon (1er Prix, 2012), « La musique et la terre » à Paris (Grand Prix, 2016) et « Breughel » à Bruxelles (1er Prix, 2019), Fidosi Kerchev a joué en soliste avec entre autres l’Ensemble orchestral de Bruxelles et divers orchestres bulgares (Sofia, Choumen, Vidin, Vratsa), dans les concertos de Mozart (n° 18), Schumann, Liszt (n° 2), Tchaïkovski (n° 1), Brahms (n° 2) et Chostakovitch (n° 1). J’ai commencé le piano à six ans, un peu par tradition familiale. Ma sœur aussi a étudié le piano, pendant dix ans, mais mes parents sont tous les deux médecins et ma sœur poursuit des études de médecine ! Je fais un peu figure d’exception… (Rire) En secondaire, j’ai gagné quelques concours, ce qui m’a donné la possibilité de travailler avec de grands professeurs. Ainsi, j’ai eu la chance de travailler pendant six ans, à Sofia, avec Jenny Zaharieva, elle-même formée au Conservatoire de Moscou auprès de Tatiana Nikolaïeva et Vera Gornostaïeva, deux immenses pianistes. . . . . . . . . . . C’est l’un de mes concertos préférés. Je l’ai joué plusieurs fois en Bulgarie. Il est très apprécié par le public et efficace en concours. Mais j’aime aussi jouer les concertos de Schumann, Liszt (n° 2), Brahms (n° 2). Je garde de bons contacts avec plusieurs chefs d’orchestre et organisateurs de festivals en Bulgarie, ce qui me permet de jouer régulièrement en soliste. Je pratique volontiers la natation et le ski. Cet été, j’ai un projet de tournée de quelques concerts en Bulgarie, avec le Concerto n° 1 de Tchaïkovski. Puis je suivrai des cours d’été en Italie, en France ou en Espagne. En août et septembre, je jouerai également deux autres concertos en Bulgarie. L’année prochaine, j’aimerais travailler le Concerto n° 3 de Rachmaninov. |
33 | le jeudi 27 mai 2021 | Catégorie : Actualités | Type : Roman graphique |
Courrier Picard, port Aval 5, F-80000 Amiens La journaliste Anne Nivat aux sources du mal. par Ludovic Lascombe
Сайт/Site : https://www.courrier-picard.fr/id196891/article/2021-05-27/la-journaliste-anne-nivat-aux-sources-du-malDans la gueule du loup, Anne Nivat (une femme reporter dans la guerre) et Jean-Marc Thevenet (scénario), Horne (dessin). Éditions Marabulles (Marabout), 119 pages 19,95 euros. Nina, reporter, s’est immergée dans les sales guerres d’Irak et de Tchétchénie. Falloujah, Irak, mars 2004 : soldats américains et milices d’Al-Qaïda s’affrontent sauvagement. Piégée dans une tempête de sable, la jeune journaliste ôte sa tenue occidentale et revêt l’abaya, longue tunique noire traditionnelle. Quasi invisibilisée, Nina se sent ainsi protégée et prête à tout pour observer la bataille. Grozny, capitale de la Tchétchénie, fin 1999 : grâce au jeune Mahmoud, Nina s’est coulée dans la sordide réalité de la guerre. Nice, France, 2014 : Abdel, habitant des quartiers nord, revient sur son désir passé d’aller faire le djihad. . . . . L’album se découpe en trois parties : Faloujah en 2004, ville qui a connu les premiers affrontements entre les soldats américains et Al Qaida (avant l’État islamique), Nice en 2014 (deux ans avant l’attentat de la promenade des Anglais) et la Tchétchénie en 1999. Nina, l’héroïne intrépide et sensuelle en qui on devine les traits d’Anne Nivat, a su à force de débrouillardise et de courage témoigner de l’intérieur de la souffrance des populations civiles en se mêlant à elles et en adoptant leurs coutumes. Graphiquement le dessin réaliste de Horne jouant sur une palette de couleurs vives restitue bien l’horreur de ces guerres que quelques années séparent. La vision de Faloujah aux immeubles déchiquetés et des corps de pilotes américains lynchés par la foule ou les hélicoptères russes larguant leurs bombes sur les villages tchétchènes sont saisissants de vérité comme si on était en direct d’un reportage. Malheureusement sur le plan du scénario le mélange des genres, entre documentaire autobiographie et fiction, a parfois du mal à fonctionner. La partie dans le café niçois où les trois protagonistes échangent de manière très didactique et moraliste sur les guerres de résistance face à l’impérialisme russe et américain, le terrorisme, la religion et l’identité nationale en France, plombe un peu le récit. De plus l’histoire de la rencontre dans ce café entre Nina et Abdel qui se souviennent s’être croisés furtivement à Faloujah en pleine guerre quelques années plus tôt semble assez improbable. Finalement la partie la plus intéressante reste celle de l’immersion de Nina dans la guerre de Tchétchénie que son alter ego Anne Nivat avait su très bien décrire dans son livre sous forme de carnet de bord journalistique Chienne de Guerre (Prix Albert-Londres) en 2000. On se dit que cette bande dessinée aurait nettement gagné en intérêt et en intensité si elle s’était concentrée uniquement sur son expérience de reporter, comme ont su très bien le faire dans leurs albums Joe Sacco ou Emmanuel Guibert (Le photographe). La réalité vaut souvent tous les discours. |
34 | le lundi 24 mai 2021 | Catégorie : Denrées alimentaires | Type : Commerce |
Sudinfo.be Les emplacements des premiers magasins Mere, «Le nouveau Lidl russe», sont connus: il y en a en Wallonie! La localisation de trois des dix magasins Mere qui ouvriront prochainement en Belgique est connue.
18 commentaires au 14/09/2021Mere, c’est le nom de ces nouveaux supermarchés. Après la France, l’Italie… le discounter a l’intention de débarquer chez nous avec 10 magasins prévus déjà cette année Mere, le combattant des prix de Russie désormais actif dans neuf pays, a de grandes ambitions en Europe occidentale et veut ouvrir dix magasins en Belgique cette année. Précédemment, le discounter avait déjà annoncé avoir des projets pour la France, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Autriche. Mere c’est avant tout une enseigne russe qui compte dans le pays plus de 600 magasins. Ainsi Mere annonce aujourd’hui ses projets pour la Belgique sur le site merebelgium.com : « Nous prévoyons d’ouvrir 10 supermarchés en Belgique en 2021 » peut-on lire sur le site de l’entreprise, qui a établi son siège belge, Lightkommerz, à Ixelles. Alors qu’aucun emplacement n’était jusqu’à présent connu, on apprend via Gondola que on connait déjà trois communes qui accueilleront un magasin: il s'agit d'Opwijk (dans le Brabant flamand), de Couvin (dans la province de Namur) et de Flémalle (dans la province de Liège). Casseur de prix L’enseigne russe s’inscrit comme un véritable « casseur de prix » et s’adresse aux personnes qui veulent économiser du temps et de l’argent. Mere garantit les prix les plus bas possibles grâce à une coopération directe avec les producteurs, une politique stricte de contrôle des coûts et des marges minimales. « Dans notre magasin, le client paie les marchandises, pas la marque », lit-on sur le site. Les magasins ont un aspect très rudimentaire, avec une gamme limitée de 1 500 à 2 000 produits essentiellement exposés sur des palettes. Les prix sont censés être inférieurs d’environ 20 % à ceux des hard discounters. Et la qualité ? Mere débarque donc aussi en France, plusieurs médias en parlent ainsi comme le « nouveau Lidl russe ». Et TF1 a poussé les portes de la grande surface déjà implantée en Allemagne. Qu’en retenir ? Selon nos confrères, des prix intéressants relayés par les clients, entendez un poulet à 2,13 euros, du parmesan (250 g) à 2,64 euros, un kilo de viande à 5 euros ou encore un vin italien à 1,09 euro. Le journaliste plante le décor, on est dans des zonings en banlieue, où les terrains ne sont pas chers, le magasin est rudimentaire, oubliez les beaux rayons. Et clairement Mere veut séduire un public plus « défavorisé ». Les employés ? « En 45 minutes, nous n’avons croisé que deux membres du personnel », dit le journaliste. Mais le journaliste s’interroge encore de la provenance des produits, précisant notamment que la chaîne achète chez des entreprises en difficulté, histoire d’avoir les meilleurs prix Les étiquettes sont peu détaillées… ou pas en français en tout cas. D’où la crainte au niveau de la qualité. Mere, une concurrence en Belgique ? À voir… Adresse : Mere c/o : sprl LIGHTKOMMERZ, Clos du Parnasse, n° 11C à 1050 IXELLES M. Jean-Claude De Gheest – jcdg at merebelgium.com – 0495 205 569 Emplacements : Supermarché MERE, rue de la Fabrique, n° 6 à 4400 FLEMALLE. Courriel : mere.belgium at gmail.com https://merebelgium.com https://www.sudinfo.be/id395404/article/2021-05-24/les-emplacements-des-premiers-magasins-mere-le-nouveau-lidl-russe-sont-connus-il Voir aussi : - Mere, « l’Aldi russe », débarque en Belgique. - Mere, le supermarché russe s’installe à 20 km de Bruxelles - les travaux ont débuté |
35 | le jeudi 20 mai 2021 | Catégorie : Denrées alimentaires | Type : Commerce |
DPG Media, Medialaan 1, 1800 Vilvorde Mere, « l’Aldi russe », débarque en Belgique. On ne vient pas faire ses courses chez Mere pour flâner ou pour le plaisir des yeux. Les articles y sont présentés dans leur emballage d’origine, comme dans un entrepôt de stockage industriel. © Mere
Rédaction 20-05-21, 12:32 Dernière mise à jour: 20-05-21, 13:36 Aldi, Lidl et Colruyt n’ont qu’à bien se tenir. La concurrence russe frappe à nos portes. L’enseigne “Mere” souhaite en effet s’implanter en Belgique et y ouvrir dix supermarchés avant la fin de l’année, révèle HLN.be. Un supermarché Mere a ouvert ses portes à Leipzig (Allemagne) en 2019 © BELGAIMAGE En raison du nombre limité d'employés au magasin, le temps d'attente à la caisse s’avère parfois assez long © Mere Source: HLN.be, Stefan Vanderstraeten, Le Monde, TF1, RetailDetail Courriel : info at 7sur7.be / Tél. réception : 02 255 32. 11 https://www.7sur7.be/economie/mere-laldi-russe-debarque-en-belgique~a30cdb22/ https://www.7sur7.be/belgique/bientot-une-nouvelle-chaine-de-supermarches-en-belgique~a9522a17/ Voir aussi : - Les emplacements des premiers magasins Mere, « Le nouveau Lidl russe », sont connus : il y en a en Wallonie! - Mere, le supermarché russe s’installe à 20 km de Bruxelles - les travaux ont débuté |
36 | le mercredi 28 avril 2021 |
LIFE éditions, rue Damremont 54, F-75018 Paris Des miradors à la liberté : Un Français-Russe toujours en résistance. par Nikita Krivochéine, traduit du russe par Bruno Bisson, préface de George Nivat
2021, 192 pages, Prix 22,00 €Cahier de photos Présentation du livre par M. Guillaume d’Alançon, directeur de l’Institut pour la Famille en Europe. - Pourquoi vouloir publier vos mémoires ? La littérature « Archipel » stalinien est abondante en français. Mais pratiquement rien n’est paru sur la période qui a suivi les évènements de Budapest et le Festival de la jeunesse de 1957. Ont paru en France les souvenirs d’ Anatoli Martchenko « Une Grève de la faim » et le livre d’Irina Emelianova « Légendes de la rue Potapov » , sur les périodes concentrationnaires Khrouchtchev-Brejnev. Il fallait combler cette omission. - Au nom du respect des droits de l'homme, on est aujourd'hui face à un déni du droit à la vie et à chercher la vérité en conformité avec sa conscience. Vous qui avez souffert pour vos convictions, que doit être selon vous le rôle de l'Etat, mais aussi des médias ? - L’Eglise enseigne que le Droit Divin prime sur les codes et les lois que se donnent les sociétés. Il est légitime de refuser à suivre un ordre peccamineux. Il y a eu à Katyn des militaires qui n’ont pas accepté de participer à la tuerie des prisonniers polonais. Photo : Correspondance entre le camp et les amis de Nikita, 1957 et 1961 - L’Eglise enseigne que le Droit Divin prime sur les codes et les lois que se donnent les sociétés. Il est légitime de refuser à suivre un ordre peccamineux. Il y a eu à Katyn des militaires qui n’ont pas accepté de participer à la tuerie des prisonniers polonais. - Vous avez connu Alexandre Soljénitsyne, qu'aimeriez-vous lui écrire comme dédicace si vous aviez pu lui offrir votre livre ? - J’aurais essayé de lui dire que la lecture d’Ivan Denissovitch, puis de l’Archipel a été un tournant dans ma manière de percevoir la Russie. Peu avant mon départ d’URSS j’ai rencontré Soljenitsyne qui m’a dit approuver ma décision. Qui a été pour moi très douloureuse. J’aurais dit dans ma dédicace que ne fût-ce qu’un peu j’ai réussi à m’en tenir à ses préceptes. - Qu'est-ce que le courage pour vous ? - Faire de son mieux pour ne pas montrer qu’on a peur. - Vous ne cachez pas votre attachement à la religion de vos pères. En ces jours où nous fêtons Pâques, quel message d'espérance voulez-vous transmettre ? - Que les fêtes pascales que j’ai vécues dans la prison de la Loubianka et dans les camps m’ont été bien plus qu’un réconfort, une certitude. J’ai rencontré dans « les zones » des codétenus admirables et j’en suis reconnaissant à la Providence. J’en parle dans le livre. Photo : 2014, Tallinn, Nikita et Monseigneur Corneille, métropolite de Tallinn et d'Estonie, son codétenu dans les camps de Mordovie - Que diriez-vous aux français qui peinent face à la crise des valeurs, à la crise du sens, sur fond de crise économique, et qui ne savent plus à quel saint se vouer ? - Que les pénombres n’ont pas vocation à durer, qu’il suffit amplement de ce qui s’est maintenu de nos certitudes aujourd’hui. L’Espoir est une grande vertu, demain sera un autre jour. Les difficultés de maintenant sont peu de choses à comparer avec la guerre froide et la menace communiste. - Enfin, une dernière question, quelle est l'icône que vous préférez, celle qui a recueilli vos prières pendant les heures sombres de votre vie ? - Celle de la Mère de Dieu de Vladimir, elle s’est imprimée dans ma mémoire, combien de fois sa vision m’a soutenu, m’a épargné le désespoir. Et l’icone de Saint Séraphin de Sarov, protecteur de notre famille, priant dans la forêt, agenouillé sur une pierre pendant de longs mois . Nikita Krivochéine est né à Paris en 1934. Son grand-père fut ministre de l’agriculture du tsar Nicolas II. Son père, Igor Krivochéine, officier de l'armée blanche du général Wrangel est un héros de la résistance aux bolchéviques qui émigre en France en 1920, résiste au nazisme et est déporté à Buchenwald. En 1948, Nikita rejoint l’URSS avec ses parents qui pensent retrouver une Russie apaisée. Peu après leur arrivée, son père est arrêté et envoyé dans un camp de travaux forcés où il retrouve Soljenitsyne. Nikita parvient à suivre les cours du prestigieux Institut des langues étrangères de Moscou et travaille comme traducteur. Il est arrêté en 1957, coupable d’avoir envoyé au journal le Monde une chronique sur l’intervention soviétique en Hongrie, en réaction à un article de Vercors à la gloire du régime et de l’URSS. Il est à son tour envoyé dans les camps après avoir passé de longs mois dans les prisons du KGB. En 1971, il peut enfin revenir en France grâce à l'intervention personnelle du président Pompidou. Ses parents le rejoignent en 1974. Il effectue alors une carrière d’interprète auprès de différentes organisations internationales. Des miradors à la liberté constitue un témoignage exceptionnel de l’un des derniers survivants du goulag soviétique, comportant notamment un écrit inédit de Soljénitsyne dont Nikita Krivochéine fut l’interprète et l'ami. C’est aussi un acte d’espérance et une sévère mise en garde contre les tentations totalitaires de notre temps. Zone contenant les pièces jointes Photo: Tallinn, le métropolite de Volokolamsk Hilarion, président du DREE, à la cathédrale Saint-Alexandre-Nevski Rédigé par « Parlons D'orthodoxie » le 28 Avril 2021 à 08:17 | 1 commentaire | Permalien https://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/Nikita-Krivocheine-Des-miradors-a-la-liberte-Un-Francais-Russe-toujours-en-resistance_a6265.html http://www.vava.be/Files/Nikita Krivochéine _ Des miradors à la liberté _ Un Français-Russe toujours en résistance _.html |
37 | le dimanche 28 mars 2021 | Catégorie : Histoire | Type : Biographie |
Russia Beyond, RU-115035, Moscou Comment est née et vit la diaspora russe en Belgique?
par Daria Gridiaïeva
Projet multimédia international géré par "TV-Novosti" / Bât 25. 1 Rue Piatnitskaya, 115035, Moscou, Russie / Tel. +7 499 750 0075, ext. 34116e étageProjet multimédia international géré par "TV-Novosti" De 1918 à nos jours, la Belgique a accueilli trois grandes vagues d'émigrants russes. Si chacune diffère de la précédente, elles ont toutes beaucoup en commun. Dans cet article, nous vous racontons les histoires de personnes de différentes générations dont la vie est à jamais partagée entre les deux pays. Première vague – Le temps des changements Lorsque les flammes de la Révolution ont déferlé sur la Russie ... Alexandre et Maria, descendants directs d’Alexandre Pouchkine issus de familles différentes ... Comment le premier roi de Belgique est devenu général dans l’armée russe à 12 ans ... Ils ont pris le Transsibérien, séjourné en Crimée ainsi que dans les îles Solovki ... Deuxième vague – Le temps de l'amour Marina Chafrova-Maroutaïeva, héroïne russe de la Résistance belge ... Mariage mixte à l’époque de l’URSS: une rocambolesque histoire d’amour franco-soviétique ... Ces habitants d'Aquitaine dont la vie est liée à la Russie ... https://www.facebook.com/russiabeyond/ https://fr.rbth.com/lifestyle/86304-diaspora-russe-belgique |
38 | le lundi 15 mars 2021 | Catégorie : Politique | Type : Interview |
Le Site de la Chaire d’études Europe-Russie de l'UCLouvain Les 5 principes directeurs des relations UE-Russie, 5 ans après. Auteur : Laetitia Spetschinsky
Le site de la chaire d’études Europe-Russie de l’UCLouvain Cette contribution présente les résultats d’une série d’échanges informels et d’interviews réalisés depuis la fin février auprès d’observateurs privilégiés qui ont préféré garder l’anonymat. L’un de ces interlocuteurs, M. Jim Cloos, Senior Associate Fellow à l’Institut Egmont (Bruxelles), a toutefois accepté de livrer à Europe.Russie.Debats une réponse resserrée sur la question « Faut-il réviser les cinq principes directeurs de l’UE à l’égard de la Russie ? ». Sa réflexion, nourrie par une longue carrière au cœur de la décision européenne, est publiée en encadré. Les cinq principes dans le contexte actuel : 1. Les accords de Minsk sur l’Est de l’Ukraine. 2. Des relations renforcées avec les partenaires orientaux et d’autres voisins de l’Union, y compris l’Asie centrale. 3. Le renforcement de la résilience de l’Union. 4. Une coopération sélective avec la Russie sur des questions présentant un intérêt pour l’Union. 5. Le soutien aux contacts interpersonnels. Trois pistes de réflexion pour une Realpolitik fidèle aux valeurs européennes. Faut-il réviser les cinq principes directeurs de l’UE à l’égard de la Russie? La réponse de Jim Cloos, Senior Associate Fellow, Institut Egmont, Belgique Les principes adoptés en mars 2016 étaient censés aider à débloquer la situation. Cela ne s’est pas fait. Ils restent largement valables, mais il convient de les rendre plus opérationnels et d’en faire une politique cohérente pour atteindre nos objectifs politiques. être intraitable dans la défense de nos intérêts et valeurs. La façon dont notre HR a été traité est inacceptable ; répondre à toute tentative de déstabilisation (Cyber et autre) et accroître notre résilience et autonomie stratégique. La coopération avec l’OTAN sera d’autant plus importante que la Russie se montrera agressive ; respecter la nation russe et travailler avec la société civile russe ; garder les canaux de communication ouverts, mais pas dans le désordre où chaque rencontre est vue comme une victoire par le Kremlin et une trahison par certains Etats membres ; utiliser peut-être davantage l’OSCE comme un canal de communication ; considérer les sanctions comme un instrument efficace au service d’une politique, pas comme une fin en soi; défendre le droit des pays situés dans le voisinage de l’UE et de la Russie de choisir leur propre destinée et les assister, sans raisonner en termes de confrontation de blocs et de choix binaires; relancer Minsk, en accord avec nos conditions, mais sans en faire un préalable absolu pour toute forme de coopération avec la Russie ; ne pas exclure des coopérations sélectives qui font du sens, sur le plan bilatéral et global (énergie, vaccins, espace, climat…) ; faire preuve de plus de Realpolitik : sur la Syrie et la Libye plus de dialogue avec la Russie aurait peut-être conduit à un meilleur résultat pour les peuples concernés et le monde ; ne pas pousser les Russes dans les bras chinois, ce qui n’est pas un risque zéro. Or, un bloc sino-russe changerait la donne et nous obligerait à retourner à une logique bloc contre bloc qui serait bien plus dangereuse que celle de l’après-guerre. |
39 | le mercredi 24 février 2021 | Catégorie : Russie | Type : Littérature |
Le Figaro Abonnement, rue de Mouchy 4, F-60438 Noailles Cedex La Russie, terre d’inspiration pour la littérature par Cédric Gras, Bruno Corty, Thierry Clermont et Alice Develey
Сайт/Site : https://www.lefigaro.fr/livres/la-russie-terre-d-inspiration-pour-la-litterature-20210224DOSSIER - Pays de contrastes et d’excès, la patrie de Dostoïevski, de Tolstoï et de Soljenitsyne fascine les auteurs européens contemporains. L’écrivain voyageur Cédric Gras en témoigne. La Sibérie: l’exotisme absolu Par Cédric Gras La littérature ne couvre pas le monde de manière égale. Certaines régions du globe sont constamment sous les projecteurs quand d’autres restent délaissées par les auteurs. La Russie et particulièrement la Sibérie tirent leur épingle du jeu malgré une réputation épouvantable. Sans doute les livres qui les évoquent présentent-ils l’avantage d’un voyage par procuration dans des territoires qu’on hésite à élire pour ses vacances. Et malgré tout, l’on voudrait savoir. Définition de la fascination en somme que de craindre tout en rêvant secrètement. À LIRE AUSSI : Sibérie : en Iakoutie, voyage au pays du froid extrême Les Pianos perdus de Sibérie, de Sophy Roberts, est le dernier exemple en date de l’attraction que peut exercer la Sibérie sur les écrivains. L’auteur britannique se lance dans la folle recherche d’un vieil instrument pour une amie mongole. Le prétexte rêvé pour sillonner la Sibérie. Fouillant archives et interrogeant à tout va, Sophy Roberts déniche un Bechstein à Kiakhta, un Stürzwage à Khabarovsk, un Grotrian-Steinweg à Novossibirsk, |
40 | le mercredi 24 février 2021 | Catégorie : Présentation livre | Type : Littérature |
Le Figaro Abonnement, rue de Mouchy 4, F-60438 Noailles Cedex Mikhaïl Chevelev. A la recherche de la nouvelle Russie. Présentation du livre par Thierry Clermont
Courriel : tclermont at lefigaro.frDans ce premier roman, Mikhaïl Chevelev fait le portrait d'un homme balloté par le chaos du XXe siècle. La littérature russe contemporaine se porte bien, avec l'émergence depuis une bonne vingtaine d'années de nouvelles voix qui se font entendre au de-là des frontières. . . . . . . Les méandres bourbeux du passé. Les années passent , la crise économique de 2008 est oubliée. Vadim et Pavel ont suivi leurs destins, chacun de son côté. . . . . . . Note : seule une copie réduite non agrandissable du texte est reproduite. |
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