Hélène Carrère d'Encausse, Historienne, Secrétaire perpétuelle de l'Académie française,
Débat au Centre culturel orthodoxe russe le 16 octobre 2017.
. . . . .Il faut souligner qu'il y a une question fondamentale sans réponse, c'est la question de l'inéluctabilité de la révolution, je voudrais lui dire que il y a tout de même des moments on se rend compte que la situation aurait pu tourner différemment et Lénine qui était u pragmatique l'avait très bien senti d'abord pendant la guerre que cette dernière était décisive que cette révolution qui ne voyait pas venir, c'est la guerre qui permettrait de la déclancher et la défaite de la Russie. Il y a eu des tractation de paix séparée. Le prince Xavier de contantin de beaumont ont travaillé à celà il était possible de faire la paix séparée. Mais c'est un moment C'est Nicolas II qui était alors pour le coup le second souverain russe qui par fidélité à l'Alliance française, je crois qu'il faut le redire
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Tous les officiers, tous les gradés, étaient passés aux armes par les simples soldats, vous comprenez. Cette déstabilisation de l'armée et du pouvoir fait que tout le renfort qui pouvait arriver des alliés occidentaux, était complètement rompu par cet effet du décret numéro un qui a sonné le glas de l'armée, de la défense, et de la Russie, de la Sainte Russie
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